Momox, leader européen de l’achat-vente en ligne d’articles culturels d’occasion, révèle aujourd’hui les résultats de son étude Les Français et le Recommerce, sur les pratiques et la perception des consommateurs en matière d’économie circulaire.
Répondant à un double enjeu économique et écologique, la culture de seconde main continue de gagner du terrain et séduit de plus en plus d’adeptes. Ainsi, plus d’un Français sur quatre achète au moins un article culturel d’occasion (livre, CD, DVD, jeux, etc.) par mois, tandis qu’un sur cinq en revend au moins un. Mise en lumière des principales motivations et préoccupations de ces consommateurs.
Pouvoir d’achat, durabilité et gain de place, le trio gagnant de l’occasion
Avec l’inflation galopante et la baisse du pouvoir d’achat, acheter moins cher demeure logiquement le critère numéro un pour 71 % des adeptes de la seconde main – dont 74 % des 18-24 ans. La protection de l’environnement reste le second critère le plus important et constitue la principale motivation pour 20 % des acheteurs.
Côté vendeurs en revanche, l’argument du gain de place prend légèrement le pas sur le gain d’argent, cités respectivement par 42 % et 41 % des personnes interrogées. En outre, la démarche durable et la volonté d’offrir une seconde vie à ses affaires reste un enjeu très fort, et même primordial pour 16 % des vendeurs.
« Si l’économie circulaire est en adéquation avec les préoccupations actuelles des consommateurs en matière de pouvoir d’achat et d’écologie, l’importance accordée à l’expérience client n’en demeure pas moins cruciale. Ainsi, la diversité et la qualité de l’offre, des services personnalisés et un parcours client sans couture constitueront des leviers clés de différenciation pour les acteurs du secteur. », commente Heiner Kroke, CEO de momox.
Les Français, nouveaux aficionados de la culture d’occasion
Si 40 % des Français achètent des produits culturels d’occasion depuis toujours, cette tendance reste relativement récente puisque plus de 30 % l’ont adoptée depuis moins de 5 ans et 20 % depuis moins de deux ans. Ainsi, dans un contexte économique incertain, la seconde main s’ancre durablement dans les habitudes : un Français sur quatre déclare acheter au moins un article culturel d’occasion tous les mois, tandis qu’un sur cinq affirme en vendre à la même fréquence.
Le Web, canal privilégié des chineurs
Longtemps cantonné aux circuits physiques, le marché de l’occasion a opéré une véritable mue digitale durant la dernière décennie, porté notamment par l’émergence des plateformes d’e- commerce. Ainsi, près d’un consommateur sur deux réalise ses achats en ligne, principalement sur des sites d’annonces entre particuliers (25 %) et des plateformes spécialisés (22 %). Internet est également le canal préféré pour deux tiers des vendeurs.
Toutefois, les points de vente physiques ont toujours la cote puisque 41 % des acheteurs et 34 % des vendeurs continuent d’arpenter les brocantes, les vides greniers et les dépôts-vente pour dénicher ou vendre de nouveaux biens culturels.
À propos de momox : momox a lancé en 2004 le premier portail d’achats de produits culturels d’occasion dans les pays germanophones. Aujourd’hui momox est le premier vendeur de biens culturels de seconde main sur Amazon à travers le monde. Basée en Allemagne, momox achète des articles d’occasion à prix fixe via momox.fr et son application mobile. L’entreprise prend en charge le prix de l’envoi des biens proposés par les particuliers sur ses plateformes. Les articles achetés sont ensuite revendus sur momox-shop.fr pour les produits culturels (livres, vinyles, jeux vidéo, etc.) en France, avec des économies pouvant aller jusqu’à 70 % du prix de l’article neuf. Le siège de la société à Berlin gère également les plateformes localisées au Royaume-Uni, en France, en Belgique et en Autriche.