éjwé : la lingerie ultra-confortable qui prône le respect, la diversité, et le bien-être. L’impact de l’industrie de la mode sur l’environnement est bien connu : responsable de 10 % des émissions de gaz à effet de serre, il utilise 4 % de l’eau potable disponible sur la planète.
On pense moins aux conséquences sur les femmes. Cette industrie véhicule des standards de beauté irréalistes et nourrit une injonction à la minceur qui a des conséquences si négatives sur la psyché féminine (source). Le secteur de la lingerie, lui aussi, pose de nombreux problèmes en proposant des soutiens-gorge pas toujours adaptés aux différentes morphologies féminines, et donc peu confortables, dans des matières qui ne respectent pas la sensibilité de nos parties intimes, et en diffusant les images d’une poitrine stéréotypée idéale.
C’est pour offrir une autre vision de la lingerie que Bénédicte d’Elloy a fondé éjwé. Minimaliste et écoresponsable, la jeune marque met en valeur la diversité des femmes et de leur corps, participant, à son échelle, à créer un monde plus bienveillant et inclusif.
La lingerie intemporelle qui célèbre la féminité au naturel
éjwé propose une collection d’essentiels de la lingerie. Faits en coton bio, ses culottes et soutiens-gorge ont un design épuré et féminin, et sont vendus à un tarif accessible. Ils sont disponibles du S au XL.
Dans une optique écoresponsable, la marque ne propose pas de collections saisonnières ni de soldes. Ses produits sont de vrais intemporels, des essentiels pour tous les jours et pour toutes les femmes.
Déclinés dans des couleurs chaudes, les soutiens-gorge d’éjwé ont pour particularité de n’avoir ni armature, ni rembourrage : ils laissent la poitrine se placer naturellement, et accompagnent les mouvements.
A propos de Bénédicte D’Elloy, fondatrice d’Éjwé Lingerie
Bénédicte D’Elloy a suivi une formation de stylisme modélisme à l’École supérieure des arts et techniques de la mode (Esmod). Elle a ensuite travaillé dans l’industrie de la lingerie à Paris, New York et Hong Kong, dessinant des sous-vêtements pour de grandes marques.
Bénédicte aimait beaucoup son métier, mais ses 15 ans dans le milieu de la mode lui ont fait prendre conscience des effets néfastes des modes de production intensifs sur la planète et les êtres humains.
Elle ne se retrouvait plus dans les pratiques de l’industrie, ni dans les besoins et standards impossibles à atteindre créés par le secteur de la mode. « Je ne me reconnaissais pas non plus dans l’image stéréotypée et souvent sexualisée des femmes véhiculée par cette industrie », raconte-t-elle.
À 40 ans passés, Bénédicte a décidé de changer de vie en s’installant à Bordeaux, où elle a grandi, et en créant une marque de lingerie en accord avec ses valeurs. Le concept éjwé est né est de son expérience : Bénédicte a une peau hypersensible, et a toujours eu du mal à trouver des soutiens-gorge sans armature confortables.
Fin 2020, elle lance éjwé grâce à une campagne de financement participatif sur la plateforme Ulule. Elle ouvre son e-shop en mai 2021.