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Le challenge cobotique relevé par six laboratoires de Lorraine

L’Université de Lorraine vous invite à découvrir son travail de recherche scientifique interdisciplinaire autour d’un objet en émergence : les cobots* et systèmes collaboratifs et leurs interactions avec les humains dans le cadre des challenges de l’industrie du futur, à l’occasion d’un petit-déjeuner presse le mardi 14 juin à partir de 9h dans les locaux de l’AIP-PRIMECA, 745 Rue du Jardin Botanique à Villers-lès-Nancy.

Le projet exploratoire « C-Shift » (Cobots in the Service of Human activity at work In consistence with the challenges of the Industry of the FuTure), issue de Lorraine Université d’Excellence présente deux originalités :

  • Il s’inscrit d’abord dans une démarche clairement interdisciplinaire autour de trois axes de recherche (santé, organisation et systèmes) permettant de combiner les apports de chercheurs issus des sciences du numérique, des sciences de l’organisation, et des sciences de la santé, de l’ergonomie et de la psychologie. L’implication des laboratoires CEREFIGECRANDEVAHLGIPMLORIA et PERSEUS témoignent de cette dynamique interdisciplinaire.
  • Il s’appuie ensuite sur des plateformes technologiques (AIP PRIMECA – SMART, DITEX et ERGOSIM) et sur des terrains industriels concrets (notamment ceux des entreprises membres de l’advisory board, ECLATEC et THYSSEN KRUPP) pour faire converger les concepts sur des objets communs et pour élaborer des démonstrateurs. Le regard de l’INRS, également membre de l’advisory board, complète le dispositif.

Si l’introduction de ces nouvelles technologies constitue un levier de productivité et d’adaptabilité pour le tissu industriel, ces transformations ne sont pas sans poser de nouveaux défis pour les entreprises : programmation des dispositifs, compétences, organisation des chaînes de production, logistique, management, maintenance n’en sont que quelques illustrations.

« Il faut se rapprocher des industriels pour leur amener des éléments de méthodes afin d’introduire au mieux cette nouvelle technologie qui a très probablement un énorme potentiel mais aussi des conséquences importantes en termes de santé, en termes d’organisation du travail et en termes d’emplois », souligne Benoît Grasser, responsable scientifique du projet C-SHIFT.

Le projet prévoit d’élargir ses horizons disciplinaires, de développer son impact économique tout en offrant de nouvelles perspectives et de nouveaux terrains de recherche avec la formalisation d’un nouveau projet plus large, baptisé « SysCoHM » (Systèmes Collaboratifs Homme-Machine). 

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