Pour ses 2 ans, SPRiNG, DNVB qui incite à “balancer ses bidons plastiques”, complète son business model digital par une infiltration puissante dans le commerce physique.
Près de 250 magasins Monoprix présenteront son offre de produits d’entretien clean et efficaces. (lessives et sprays nettoyants) Dès le mois de mars 2022 sur l’ensemble de l’Hexagone.
Du 100% digital au premier point de vente : un vrai tournant pour cette jeune start up française aux bases solides. Les chiffres parlent d’eux-mêmes.
En 2 ans d’existence, SPRiNG a vendu 10 millions de mini-doses partout en France sur le seul modèle digital. Elle entend aujourd’hui booster ses ventes en touchant de nouveaux consommateurs en magasins.
Pour mieux comprendre les coulisses de cette success story et l’émergence de ce business model hybride, nous vous proposons une interview avec l’un des cofondateurs SPRiNG.
SPRiNG, la genèse…
Créée en 2020 par Laure Favre (20 ans d’expérience dans le secteur de la détergence). Ben Guerville et Philippe Cantet (anciens de Shopmium et Innocent). SPRiNG est issue d’un constat alarmant : les grandes marques sont aujourd’hui incapables d’apporter une solution aux attentes des consommateurs en matière d’écologie.
Si les formules s’affichent plus green, aucune alternative n’est proposée concernant l’emballage plastique. Or, chaque Français utilise plus de 70 kg de plastique par an. La faute aux marques qui ne font pas leur job en matière d’innovation packaging. SPRiNG se définit comme une alternative responsable, clean (sans matières controversées), efficace (formules concentrées sans eau) aux produits d’entretien classiques.
